Grafittis de llana, en posarieu als transports?
Posted: Wednesday 17/12/2008 12:48
Avui, xafardejant al 20 minutes, el francès, http://www.20minutes.fr/article/282304/ ... -laine.php he vist això:
Le tricot urbain, le street art en laine
On connaissait les tags et les murs peints. Désormais, l’art de la rue devra compter avec le tricot urbain. Autrement dit, des graffitis faits de laine plutôt qu’avec de la peinture à la bombe. Concrètement, il s’agit d’habiller portes, statues, lampadaires et autres équipements citadins d’écharpes ou collerettes. En maille donc.
L’idée vient d’un groupe de tricoteuses américaines baptisé «Kitta please». Des filles ultra branchées qui, comme on le voit dans cette vidéo (al link de dalt), n’ont rien de mamies même si elles manient les aiguilles avec une dextérité hallucinante.
Les fondatrices de Kitta sont fières de le dire: depuis sa création en 2005, le mouvement s’est élargi à… Au moins un membre de la gent masculine.
Sur cette page Flickr, on découvre ces drôles de décorations investir d’autres villes du monde, de New York à Pékin en passant par Paris. Autour des colonnes Buren dans la cour du Palais royal, ou le long d’un panneau montrant la direction de l’Institut du monde arabe. Des expositions en plein air à l’ambiance très développement durable. Façon d’humaniser le mobilier urbain et de recycler les bouts de chaussette inusités.
La web d'aquesta gent tant laboriosa és http://www.knittaplease.com
És sensacional!!!! En lloc de grafitejar elements urbans, com semàfors, fanals, senyals de trànsit, parquímetres, antenes dels cotxes, etc., els hi fan una fundeta de llana tricotada!!!! Imagineu que en lloc de grafitis als trens, els hi fan bufandes, pitets, etc. A quins transports els hi farieu robeta tricotada?
Le tricot urbain, le street art en laine
On connaissait les tags et les murs peints. Désormais, l’art de la rue devra compter avec le tricot urbain. Autrement dit, des graffitis faits de laine plutôt qu’avec de la peinture à la bombe. Concrètement, il s’agit d’habiller portes, statues, lampadaires et autres équipements citadins d’écharpes ou collerettes. En maille donc.
L’idée vient d’un groupe de tricoteuses américaines baptisé «Kitta please». Des filles ultra branchées qui, comme on le voit dans cette vidéo (al link de dalt), n’ont rien de mamies même si elles manient les aiguilles avec une dextérité hallucinante.
Les fondatrices de Kitta sont fières de le dire: depuis sa création en 2005, le mouvement s’est élargi à… Au moins un membre de la gent masculine.
Sur cette page Flickr, on découvre ces drôles de décorations investir d’autres villes du monde, de New York à Pékin en passant par Paris. Autour des colonnes Buren dans la cour du Palais royal, ou le long d’un panneau montrant la direction de l’Institut du monde arabe. Des expositions en plein air à l’ambiance très développement durable. Façon d’humaniser le mobilier urbain et de recycler les bouts de chaussette inusités.
La web d'aquesta gent tant laboriosa és http://www.knittaplease.com
És sensacional!!!! En lloc de grafitejar elements urbans, com semàfors, fanals, senyals de trànsit, parquímetres, antenes dels cotxes, etc., els hi fan una fundeta de llana tricotada!!!! Imagineu que en lloc de grafitis als trens, els hi fan bufandes, pitets, etc. A quins transports els hi farieu robeta tricotada?